Ce sac était factice: le contenu n’avait aucune valeur. On essayait de protéger les vrais sacs en plaçant des sacs fictifs. La partie supérieure était garnie d’œillets métalliques et était fermée à l’aide d’une cordelette à laquelle pendait un morceau de carton muni d’un cachet et d’un timbre.